Et pourtant , cette fois c’était la bonne ! Il
allait gagner et prouver ainsi aux biellois admiratifs que, lui, Maire inamovible et infaillible à la fois, avait eu, une fois
enfin, gain de cause. La loi allait, c’est sûr, être du bon côté : le
sien.
ET
Patatras !!! Jeudi 13
décembre à 10h30 , le Président
de la Cour d’Appel donnait raison à son adversaire et renvoyait le
procès au mois de mars 2013.
Le Maire n’avait pourtant pas ménagé ses efforts. Pour
que ce jugement qui devait couronner sa carrière de grand procédurier
intervienne, tous les moyens avaient été utilisés. Surtout les plus
discutables. Refus de réunir, dans les délais, le Conseil Municipal qui voulait
éviter à la Commune un nouvel échec.
Refus de porter à l’ordre du jour du C.M. à venir les délibérations demandées
par la majorité des Conseillers. Et que diable si la loi était bafouée !!
La fin justifiait les moyens nous expliquait-il dans son dernier tract.
Tout ça pour rien !
« Ce n’est que partie remise ! » pensez-vous.
Et non justement. Dans ce nouveau
délai, nous mettrons fin à cette procédure de retrait de la CSHO, et Bielle
pourra enfin se tourner vers l’avenir, cesser d’encombrer les prétoires et
ménager ses finances.
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